de Staël « Ma peinture je sais ce qu’elle est sous ses apparences sa violence, ses perpétuels jeux de force c’est une chose fragile dans le sens du bon, du sublime, c’est fragile comme l’amour. »
Nicola de Staël
Lettre à Jacques Dubourg, décembre 1954
« Ma peinture je sais ce qu’elle est sous ses apparences sa violence, ses perpétuels jeux de force c’est une chose fragile dans le sens du bon, du sublime, c’est fragile comme l’amour. » Nicola de Staël Lettre à Jacques Dubourg, décembre 1954